Voilà le billet que j’aurais aimé écrire : The ROI of RIA. Il y est question de l’intérêt des interfaces riches dans une optique d’efficacité marchande : “est-ce que ma boutique en ligne transforme mieux grâce aux interfaces riches ?“
Vaste question à laquelle l’auteur s’en sort plutôt bien. Son point de vue est de dire que les interfaces trop avant-gardistes présentent un trop gros risque et qu’il est plus prudent d’enrichir certains écrans-clés plutôt que d’opter pour une boutique surréalistes. Certains exemples sont proposés :
- Le panier “riche” de GAP ;
- Le check-out process en 1 écran de RueLaLa ;
- Les quick previews (également utilisées chez GAP) ;
- La recherche de disponibilité de façon transparente ;
- L’utilisation du multimédia…
Vous noterez que le point de vue de l’auteur est très proche de celui que nous vous avons présenté lors de notre premier petit déjeuner consacré au rich commerce (cf. la compte rendu).
Dommage qu’il n’y ai pas de chiffres dans cet article.
J’allais le dire, mais Cobolian m’a précédé.
Vous faites un article sur le ROI, et vous ne citez pas de chiffre, j’appelle ça un aveu d’échec. Donc si je lis entre les lignes, il y a un ROI mais il est négatif, au moins à court terme, mais bon on se rattrape en allant chercher la notion de notoriété liée à la communication… Un peu trop facile, surtout lorsqu’on parle d’e-commerce et de taux de conversion. Le visiteur frustré, il est frustré, et la notoriété, ben vous n’y contribuerez pas, ou pas dans le bon sens ;-)
j’interviens un peu tard sur ce post…
Parler ici de ROI ne me semble pas être la notion la plus pertinente qui soit dans la mesure où le ROI est influencé par beaucoup de paramètres indépendants de l’interface, dont bien sûr le volume et la marge ! Alors que le ROI soit positif ou négatif ne signifie pas grand chose en soi (pour nous).
Je préfèrerais tenter d’évaluer la performance d’une RIA à celle d’une SIA (pour “Simple” je ne sais pas si ça existe).