Alors que nous rentrons dans une troisième phase de confinement, la perspective d’un retour à la normale s’éloigne toujours plus. Petit à petit, nous adaptons nos comportements et habitudes à un quotidien sans contact. Et pendant ce temps là, dans la majorité des entreprises, on s’obstine à vouloir perpétuer une organisation, des méthodes, outils et modalités de travail héritées du siècle dernier. Certes, la fin de la crise est proche (c’est une affaire de quelques mois), mais ce n’est certainement pas une raison pour repousser l’inévitable : une refonte en profondeur de notre façon de travailler afin de se projeter dans le 21e siècle.
