Cela fait 20 ans que je travaille dans le web, deux décennies pendant lesquelles je n’ai jamais constaté une telle effervescence que celles que nous sommes en train de vivre. Non pas que les choses sérieuses commencent réellement, mais que le marché prend seulement conscience d’une réalité où le numérique domine. Il y a donc urgence à accélérer la transformation digitale pour ne pas se laisser distancer.
Après plus de 11 ans passés en indépendant, je sens que les enjeux liés au numérique sont trop importants pour un individu isolé, que je suis allé au bout de ce que je pouvais faire tout seul. Je suis donc très fier de vous annoncer le lancement d’une initiative commune avec Mathieu Flaig et Stéphane Puchois : la création de SYSK, le premier accélérateur digital pour grandes entreprises.
Bref, tout ça pour dire que mon livre est maintenant disponible à la vente, et que je galère toujours autant dans ce fichu monde l’édition…
Le mobile est l’avenir du web, et inversement
Si les médias sociaux ont irrémédiablement transformé nos habitudes de consommation de l’information, d’achat ou de sociabilisation, les terminaux mobiles vont définitivement vous faire tourner la page de l’internet de bureau, celui que l’on consulte à partir d’un ordinateur. J’ai déjà eu l’occasion de vous expliquer que nous vivons maintenant dans un monde mobile : les smartphones sont omniprésents, et ils ont à nouveau bouleversé nos habitudes, nos réflexes et nos attentes.
La grande nouveauté, est qu’auparavant, pour aller sur le web, il fallait s’installer à son bureau, démarrer son ordinateur, lancer un navigateur et saisir une URL. Maintenant, nos smartphones sont allumés en permanence et nous sollicitent de façon pro-active grâce aux notifications. La plage d’exposition aux contenus et services en ligne est donc bien plus grande : du lever au coucher. Du moment où nous sortons de notre lit, jusqu’à ce que nous y retournons, nous sommes dans un environnement entièrement numérique : communication, information, divertissement, achats, éducation, travail… et les smartphones sont les télécommandes de ce quotidien 100% numérique. Le pire dans cette histoire, c’est que les smartphones ne sont que la première étape : tablettes, Smart TV et autres objets connectés vont petit à petit se généraliser dans les foyers.
Avec ce livre, j’ai voulu aborder la mobilité dans son ensemble et présenter une vision exhaustive du sujet : les usages, les terminaux, les technologies, les grands acteurs, les secteurs d’activité les plus impactés… Je me suis efforcé de me mettre dans la peau d’une personne qui ait envie ou qui doit se mettre à jour rapidement sur le sujet. L’objectif du livre n’est pas de faire des lecteurs des développeurs d’applications mobiles, mais de leur donner toutes les clés de compréhension pour faire les bons choix.
Des beaux livres neufs qui sortent de l’imprimeur
Je ne vous fais pas l’article du livre, car vous trouverez toutes les informations nécessaires sur la page qui lui ai consacré : Internet mobile, la révolution des terminaux alternatifs. Je préfère plutôt vous parler du long chemin de croix pour aboutir à sa commercialisation.
Les affres de l’auto-publication
Comme pour mon précédent ouvrage, j’ai décidé de ne pas passer par un éditeur. D’une part, car je voulais avoir l’entière maîtrise du manuscrit ainsi que de sa mise sur le marché ; d’autre part, car j’estime que la rémunération proposée par les éditeurs est grotesque (7% du prix de vente dans le meilleur des cas). J’ai donc persisté dans ma décision de me la jouer solo, et je rencontre toujours autant de difficultés.
Autant j’ai eu beaucoup moins de mal à m’organiser dans la rédaction et à faire une mise en page un peu plus soignée, autant la commercialisation sur Amazon est toujours aussi problématique. Pour mon premier livre, je me suis précipité la tête baissée sur l’offre réservée aux vendeurs, la Marketplace. Particulièrement intéressante pour les “petits” distributeurs ou les commerçants qui souhaitent vendre en ligne, cette offre n’est pas forcément adaptée à celles et ceux qui veulent faire uniquement de la vente en ligne, notamment car la fiche produit n’est pas la même que pour la majorité des biens vendus sur Amazon. Même si les livres sont stockés dans les entrepôts d’Amazon et qu’ils se chargent intégralement de la logistique, je n’ai pas droit au bouton “Ajouter au panier“, je dois me contenter d’un “Voir toutes les offres“, alors que je suis le seul vendeur. Il existe visiblement une procédure pour demander à ce que les équipes d’Amazon étudient la situation et daigne éventuellement mettre le bon bouton, mais elle est payante, pas fous les gars !
Du coup, pour mon second livre j’ai essayé de faire les choses correctement et de m’inscrire au programme Advantage pour être fournisseur. Le problème de cette offre est que le processus de création d’une offre est beaucoup plus long (3 semaines) et qu’Amazon décide du risque qu’il souhaite prendre sur le produit. En tant que vendeur, vous avez à votre charge les frais de stockage, donc vous pouvez décider de stocker 100, 500 ou 10.000 livres (en espérant qu’ils vont se vendre rapidement), mais en tant que fournisseur, vous devez attendre qu’Amazon vous passe commande. Du coup, le premier bon de commande est de 3 unités, 3 LIVRES !!!!!!!!!! Si ça se passe bien, ils vous en recommandent 5 dans les semaines qui suivent. Autant dire que votre livre est systématiquement en rupture de stock. Pour pallier à ce problème, je propose mon livre dans les deux programmes : fournisseur et vendeur. Amazon commercialise donc le bouquin sous ses conditions (avec une remise exceptionnelle, mais à seulement 3 exemplaires), et dans la place de marché (au tarif normal de 25 €, mais avec des quantités suffisantes).
Je vous passe les détails sur le fait que les fournisseurs et vendeurs doivent envoyer leur marchandise dans deux entrepôts différents, avec des plages horaires de livraison extrêmement précises (si le livreur a un peu de retard, ils ne le laissent pas rentrer et vous récupérer votre marchandise). Non seulement les procédures sont complexes, mais les interfaces de gestion sont très perfectibles et l’aide en ligne n’est pas d’une grande utilité (ils n’utilisent pas les mêmes termes). Enfin bref, rien n’est simple et je perds beaucoup de temps dans des broutilles administrativo-logistiques. J’en viens à me demander s’il ne serait pas plus simple pour moi de stocker tous mes livres chez Amazon et de livrer l’entrepôt des fournisseurs à partir de l’entrepôt des vendeurs. Ça fait beaucoup de frais logistiques, mais au moins je ne me retrouve pas avec des cartons de livres chez moi dont je ne sais pas trop quoi faire…
Je précise qu’après avoir lu 2 ou 3 témoignages, j’ai abandonné tout espoir de vendre mes livres en librairies, car visiblement c’est encore plus compliqué et chronophage. Mais si vous avez des bons plans ou des conseils, je suis preneur…
Édition électronique : bienvenu au moyen âge
Vous avez été nombreux et nombreuses à me demander une version électronique de mon premier livre. Comme le second parle des terminaux alternatifs et plus précisément des liseuses, je ne pouvais pas faire l’impasse. Mais j’étais loin de me douter de ce que ça impliquait…
Pour vous la faire simple : il faut 30 secondes pour créer un fichier EPUB, et deux mois pour avoir le droit de le vendre ! Le problème vient du fait que les entités d’Amazon et d’Apple qui se chargent de la vente de biens électroniques sont domiciliées aux États-Unis et que l’administration américaine se sert à la source pour éviter l’évasion fiscale. Du coup, si vous voulez éviter de verser de la TVA en double (aux États-Unis et en France), il vous faut un N° fiscal US (l’EIN ou Employer Identification Number). Et pour cela remplir un formulaire à la main et l’envoyer par fax, PAR FAX !!!!!!!! Ça fait 3 semaines que j’ai envoyé mon formulaire et je n’ai toujours pas reçu de réponse, c’est complètement anachronique…
Là encore, si vous avez des conseils à me donner, je suis preneur, car j’enchaîne les erreurs de débutant (ex : remplir le formulaire PDF à l’écran pour que ce soit plus lisible, l’imprime et le faxer. Ils m’ont répondu que je devais le remplir à la main avec des lettres majuscules).
Un webinar le 10 juillet sur l’internet mobile
J’arrête là ma longue complainte, car après tout, c’est moi qui ai fait le choix de me la jouer “loup solitaire”.
Si le sujet de l’internet mobile vous intéresse, vous avez toutes les raisons de vous sentir concerné, j’organise une conférence en ligne ce jeudi 10 juillet à 13h sur la plateforme de Webikeo : Internet mobile, Usages, technologies et enjeux de la mobilité. L’inscription est gratuite, mais obligatoire, sinon vous ne pourrez pas vous connecter à la salle. Cette conférence ne durera que 45 minutes, mais elle vous donnera un bon aperçu du sujet et de l’orientation que j’ai donné à mon livre. Pensez à vous préparer un sandwich !
Voilà plus de 10 ans que je rédige mes blogs, près de 3.300 articles. Depuis tout ce temps, de nombreuses personnes m’ont demandé pourquoi je n’avais jamais publié de livre. Ma réponse était toujours la même : le papier m’impressionne. Quand on est habitué au confort d’utilisation des outils de publication numériques, l’idée d’imprimer des mots sur un support qui ne peut être modifié à de quoi mettre mal à l’aise.
Il m’a donc fallu un certain nombre d’années pour trouver le bon thème et me décider à relever le défi. Autant vous dire que ça n’a pas été simple, car la rédaction de ce premier livre a débuté il y a plus de deux ans (il faut croire que je ne suis pas très doué). Mais ce chantier touche enfin à sa fin, car la sortie de mon premier livre est imminente : il devrait être disponible à la vente en fin de semaine chez Amazon, le temps que le centre logistique réceptionne le carton au et que la fiche soit validée.
En théorie, la rédaction d’un livre professionnel n’est pas censée prendre autant de temps, notamment parce que les éditeurs connaissent leur boulot et qu’ils savent faire aboutir un projet de publication dans des délais assez courts. Mon problème est que je n’ai pas réussi à m’entendre avec les différents éditeurs que j’ai pu rencontrer, j’ai donc dû être mon propre éditeur. Ce n’est pas tant ma méconnaissance du monde de l’édition qui a posé problème, que le long processus de rédaction pour aboutir à un manuscrit cohérent. Autant un éditeur peut vous convaincre que votre manuscrit est suffisamment bon pour pouvoir le publier rapidement, autant j’ai eu beaucoup de mal à stabiliser une première version et à me dire que ce coup-ci, c’était la bonne. J’ai donc profité de l’accalmie des fêtes de fin d’année pour boucler le manuscrit, le faire relire et l’envoyer à l’imprimeur.
Publier un livre n’est pas une mince affaire, j’ai également dû me familiariser avec tous les aspects administratifs : demander un N° ISBN et faire un dépôt légal, créer un compte vendeur chez Amazon et créer une offre (l’interface est plutôt… intimidante), prendre RDV entre le transporteur et les équipes logistiques d’Amazon dans le Loiret (on ne peut pas simplement se pointer avec un camion, il faut demander l’autorisation)…
Mais heureusement j’en suis venu à bout, et le fruit de mes efforts est enfin à portée de clics, si tout se passe bien. Toute cette histoire peut paraître triviale aux yeux de celles et ceux qui ont déjà publié plusieurs livres, mais le fait de signer un bon à tirer procure quand même une grosse émotion, surtout quand on a tout fait sois-même.
Par contre, si je suis extrêmement fier d’avoir pu rédiger et éditer ce livre tout seul comme un grand, il y a encore des petites choses à améliorer, notamment sur la mise en page (débuter les sections sur des pages impairs, mettre des légendes aux images, augmenter la taille de la police de la quatrième de couverture…). Une infinité de petits détails qui seront corrigés pour la prochaine version. Eh oui, le livre n’est pas encore en vente que je réfléchis déjà à la prochaine édition, ce qui est normal, car le secteur évolue rapidement, il faut donc au minimum une édition par an pour que le contenu ne se périme pas trop.
Mais bon, chaque chose en son temps, car je m’attaque dès maintenant à la rédaction d’un second livre sur l’internet mobile. J’espère mettre moins de deux ans à le publier…
MàJ : Bon la fiche du livre apparait sur Amazon, mais il n’est pas possible le mettre au panier, et il n’est pas correctement référencé…
Voilà bien longtemps que je ne vous avais pas parlé de mon quotidien, aussi je profite de ce billet pour vous mettre au courant des derniers changements dans ma situation professionnelle. J’ai accepté en fin d’année dernière un poste de planneur stratégique chez Ogilvy alors que je m’étais juré de ne plus retourner en agence. Cela mérite donc quelques explications.
En plus de 15 ans d’expérience professionnelle, je pense avoir testé toutes les configurations possibles :
salarié chez l’annonceur ;
salarié dans une SSII et dans une agence Web ;
associé (j’ai tenté un rapprochement avec l’équipe des Persuaders en 2011, mais ça n’a pas fonctionné)
indépendant.
Toutes ces configurations m’ont procuré de la satisfaction professionnelle et de beaux challenges, mais je n’y trouve plus mon compte. Jusqu’à récemment je me sentais à l’aise dans mon statut d’indépendant, mais c’est une position qui se révèle limitée au bout d’un certain temps, surtout quand on a travaillé pour la plupart des grands comptes en France. J’ai donc accepté un poste à mi-temps qui me permet de concilier une activité professionnelle enrichissante et des projets plus personnels.
Un poste à mi-temps signifie que je vais pouvoir continuer à :
rédiger mes 9 blogs en toute indépendance (c’est moi qui paye tout, donc je suis le seul maître à bord) ;
donner des conférences et participer à des séminaires internes en mon nom (c’est important, toujours dans ce souci d’indépendance) ;
finaliser mon livre, ainsi que ceux qui doivent suivre.
Le reste de mon activité professionnelle, les prestations de conseil, va donc se faire dans le cadre d’OgilvyOne. La raison principale est que j’avais envie d’être impliqué de façon plus “intensive” dans mes différentes missions. Le problème d’être indépendant est que l’on est souvent victime de sa faible bande passante. Comprenez par là qu’en tant qu’individu isolé, vous devez fournir des efforts considérables pour faire accepter vos idées, bien plus importants que si vous étiez accolé à une grosse structure (agence ou cabinet de conseil). Au fil des années, cet isolement commençait réellement à me peser, mais je ne voulais pas me restreindre à des missions “à taille humaine” (traduction : avec des enjeux moindres).
Ce poste au sein d’OgilvyOne va me donner l’opportunité de retravailler avec Reza, une vieille connaissance avec qui je travaillais au siècle dernier (mon salaire était versé en francs, rendez-vous compte !). Pour être tout à fait honnête avec vous, je ne sais pas trop ce que couvre la fonction de planneur stratégique (chacun a sa propre définition), mais j’imagine que ça consiste principalement à mettre à disposition mes compétences et partager mes expériences avec les différentes équipes.
Plus sérieusement, j’ai vraiment été séduit par le projet professionnel que l’on m’a présenté, et je suis enthousiaste à l’idée de partager ma culture essentiellement digitale avec celle de l’agence, initialement tournée vers les métiers de la communication, du CRM, des données et des expériences client hors ligne. Ce prisme élargi de compétences et métiers correspond tout à fait selon moi aux nouvelles exigences d’un marché en pleine restructuration. L’avènement des médias sociaux, de la mobilité et l’omniprésence de l’internet dans le quotidien des consommateurs forcent les marques à repenser la façon dont elles vont les séduire et les fidéliser. L’engagement client n’est plus une question de maîtrise du ou des supports, mais plutôt de compréhension des facteurs de transformation et d’une mise en oeuvre cohérente et holistique. Loin de moi l’idée de vous faire l’article sur la fin des agences web, mais je suis persuadé que les conditions de marché sont maintenant réunies pour voir émerger une nouvelle catégorie d’agence (OgilvyOne named a Leader in Customer Engagement Agencies Evaluation by Independent Research Firm).
Au final, tout ceci ne changera pas grand-chose pour vous, mes lecteurs, puisque je continue la rédaction de mes blogs sur le même rythme et le même ton qu’auparavant. Si vous souhaitez avoir recours à mes services dans le cadre d’une conférence ou d’un séminaire interne, vous pouvez me joindre aux mêmes N° et email.
Cerise sur le gâteau : j’ai même le droit de trainer dans le bureau de David Ogilvy :
Il existe de nombreuses initiatives d’exploitation des médias sociaux dans une optique humanitaire (il y a même un terme pour ça : “social charity“), mais ce dont je voudrais vous parler aujourd’hui est un projet plus ambitieux : Missing, un moteur de recherche pour les disparus des catastrophes naturelles. C’est la Fondation Casques Rouges qui est à l’origine de ce projet (avec le soutien financier du Secrétariat d’État à l’Économie Numérique). Cette fondation a déjà travaillé sur d’autres projets, comme l’Alerte Enlèvement sur Internet ou les téléphones mobiles, et souhaitait exploiter la puissance des réseaux sociaux pour aider à la recherche des disparus de catastrophes naturelles (ex : Le tsunami de 2004 ou le tremblement de terre en Haïti).
La fondation a donc développée en partenariat avec European Consulting Services, Bearstech et Google une plateforme de centralisation des informations disponibles sur les victimes ou disparus des catastrophes naturelles. Cette plateforme se veut mondiale et est donc proposée en plusieurs langues. L’objectif est de fournir une destination unique pour les familles des victimes qui ne savent pas à qui s’adresser et pour les équipes sur place qui pourraient fournir de précieuses informations : Lancement de la version alpha de MISSING, Le moteur de recherche mondial des disparus de catastrophes naturelles. L’idée est de fournir un dispositif de gestion de crise juste après une catastrophe naturelle (pour les premiers jours) et non de mettre en ligne un annuaire permanent des disparus (afin ne pas rentrer en “concurrence” avec le site Family Links de la Croix Rouge – à ne pas confondre avec FamilyLink.com, un réseau social privé).
L’équipe du projet (l’équivalent de 6 personnes à plein temps) a dans un premier temps concentré ses efforts sur une analyse précise des usages, qui se limitent généralement à des sites web amateurs ou des blogs, pour mettre en place une première version de la plateforme avec les fonctionnalités suivantes :
Une base de données des disparus (déclarés par les familles) ;
Un trombinoscope des victimes (renseigné par les ONG et équipes de secours) ;
Un moteur de recherche ;
Des mécanismes de publication pour pouvoir déposer des témoignages, poster des photos / vidéos, placer sur une carte les derniers endroits fréquentés par un disparu… ;
Un agent intelligent qui parcours le web et les réseaux sociaux pour agréger les données échangées et faire des recoupements.
Pour le moment nous en sommes à une version alpha qui me semble déjà très prometteuse dont voici la page d’accueil :
Dès la page d’accueil, les visiteurs sont orientés vers les fonctions essentielles (liste des disparus, recherche, témoignage…). Vous noterez dans la liste des disparus des pictos pour pouvoir facilement relayer les disparitions en 1 clic sur les grosses plateformes sociales (Facebook, Twitter…).
La fiche des disparus synthétise toutes les informations utiles le concernant (photographie, état civil, dernière adresse connue, description physique, signes particuliers…) ainsi que les données collectées sur d’autres sites :
Une version beta de la plateforme devrait sortir en septembre pour une finalisation en fin d’année. Néanmoins si une catastrophe survenait demain, la version alpha permettrait de tester le dispositif et d’apporter un premier niveau de soutien. Dans un second temps, il est également prévu d’équiper les ONG de touchbooks spécifiquement conçus pour le travail de terrain (autonomie, robustesse…) afin de faciliter l’alimentation et la mise à jour de la base.
Je ne peux que saluer le travail de cette fondation et vous inciter à prendre des nouvelles du projet sur le blog : Missing-Project.org. Bravo !
(merci à Pierre-Antoine pour les infos)
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